Florilège D…
Nous avons réuni ces trois sujets pour la bonne et simple raison qu’ils ont un point commun : accueillir des poissons avant d’entrer dans le bassin principal et leur procurer des soins ou les observer avec le maximum d’égards pour que tout se passe bien !
En parcourant les groupes, nous voyons souvent des interventions du genre…
Je ne sais pas ce qui se passe dans mon bassin mais mes poissons semblent malades depuis une semaine… à la question : avez-vous introduit de nouveaux poissons dernièrement… la réponse est souvent : oui !
J’ai un poisson qui a des rougeurs, les autres n’ont rien…comment le soigner ? à la question : avez-vous un bac pour l’isoler…la réponse est souvent : non !!
Le décor est planté…il faut bien se rendre à l’évidence…
Posséder un bac de quarantaine n’est pas juste un accessoire mais…est indispensable ! Pour deux usages principalement :
1 – en cas de malade devant être isolé
et
2 – pour placer de nouveaux arrivants en observation ou traitement si nécessaire.
Mais développons un peu le sujet pour ceux qui ne sont pas encore convaincus de cette réalité.
A – Le bac de quarantaine… I N D I S P E N S A B L E ! !
Qui peut prétendre posséder un bassin, qu’il soit peuplé de koï ou d’autres variétés de poissons, qu’il n’a jamais été en situation de devoir isoler un poisson un jour ? Personne !!
Peut-être les habitués des « je fais ainsi depuis 20 ans et je n’ai jamais eu de problèmes ! »…Mais redevenons sérieux !!
Lorsqu’on se lance dans la grande aventure, il faut bien réfléchir et ne pas croire que pour avoir un bassin à poissons fonctionnel, il suffit de creuser un trou… y mettre une bâche et de l’eau et courir au magasin pour acheter les poissons ! Sinon… vous allez vite déchanter car la réalité va très vite vous rattraper !
La conception d’un bassin c’est :
1-Penser au budget… c’est lui qui déterminera les limites possibles de la réalisation !
2-Établir et étudier les différents « post » en fonction…du budget… toujours lui ! On ne conçoit pas un bassin de 20 m3 avec 500 € !
3-Penser le projet dans sa globalité ! Se renseigner sur les coûts de chaque post…surtout ne pas sous-estimer… la filtration !! Et SVP : oubliez les boites noires d’une certaine marque qui vont apparaître devant votre écran en vous faisant croire que ce genre de filtre va vous permettre d’élever des baleines dans un océan !! Vous allez juste dépenser de l’argent… pour rien… car après un ou deux ans, vous aurez compris que ce système a ses limites…donc investissez directement dans du matériel de pro…
il y en a aussi en occasion mais de qualité ! Renseignez-vous chez eux et prenez conseils et avis dans les groupes, beaucoup de passionnés peuvent vous aider…
Attention cependant : nous disons bien : cherchez des conseils et avis…. pas foncer tête baissée sur certains conseils sans en vérifier la véracité et l’objectivité : tout n’est pas bon à prendre car dans Facebook…vous allez rencontrer…de tout : du bon et du mauvais !
4-Un bassin c’est…prévoir l’étanchéité (bâche…de différentes qualités, en dur, en polyester)…opter pour un système : pompé, gravitaire ou semi-gravitaire…une filtration adaptée en fonction du cubage et des variétés de poissons que nous convoitons…prévoir le système d’aération…le système d’ UV…l’isolation de la filtration (très important !) sans oublier les tuyaux… peut-être ,le must, prévoir un local technique…pour y mettre la filtration et…et...et………..le bac de quarantaine !!
Voir la vidéo à ce
sujet en cliquant sur
l'image
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Nous y sommes… le bac de quarantaine… Vous verrez… on ne peut pas s’en passer ! Pourquoi ?
I – Il est irréaliste de s’imaginer que vous n’aurez jamais besoin un jour d’isoler un ou plusieurs poissons !
II – Lors d’un nouvel achat, il est toujours préférable de placer les nouveaux arrivants en observation en quarantaine afin de vérifier leur état de santé…et au besoin d’intervenir et procurer des soins.
Ceux-ci ne devraient rejoindre le bassin principal qu’après avoir effectué un frottis de contrôle et effectuer un bain de sel flash de 15/15… et être en observation… nous en parlerons plus longuement plus loin !
C’est seulement à ce moment qu’on peut opter pour introduire les nouveaux dans le bassin…et notons aussi qu’une quarantaine, ce n’est pas quarante jours dans notre cas…cela dépendra des résultats des frottis de contrôle, si les poissons ont une attitude normale et se nourrissent !!
III – On ne traite jamais un bassin lorsqu’il n’y a qu’un poisson en difficulté et que les autres vont très bien
- à vérifier, concernant les parasites, par un frottis ; concernant des bactéries : l’observation ou l’antibiogramme si gros doute. On isole le poisson pour lui procurer les soins nécessaires !
-Ne pas perdre de vue qu’un traitement dans le bassin principal n’est jamais anodin !
Il n’est pas encore très loin le temps où la mode était de faire un traitement au FMC au printemps… « en prévention » !! Quelle aberration !!
Non seulement on mettait à mal l’immunité des poissons, on bousillait gravement le biofilm et que dire de la filtration biologique qui en prenait aussi un sacré coup ! En fait, c’était la meilleure façon d’attirer … des problèmes…préventifs !!
IV – Certains traitement devront obligatoirement s’effectuer en dehors du bassin principal ! Le meilleur exemple est lorsqu’on doit traiter…au sel avec des concentrations d’environ 8g/l.
V – Posséder un bac de quarantaine permet donc un tas de possibilités sans, chaque fois que vous-en aurez besoin, devoir trouver des solutions d’urgence qui ne seront que des bidouillages souvent dangereux : on prépare en vitesse une cuve, cubis au mieux, qu’on remplit dans la hâte, on y place un bulleur, le poisson malade et…on se retrouve 3 jours après avec une explosion d’ammoniac et de nitrites !!
Croyez-moi, ça ne va pas aider le (les) poisson(s) malade(s) dans leur guérison !!
Pour éviter ce scénario, on peut anticiper et laisser fonctionner en permanence un petit filtre pression grâce à une pompe d’aquarium dans le bassin principal qui se chargera en bonnes bactéries et qu’on pourra ainsi utiliser lors d’une mise en fonction d’un bac de quarantaine lorsqu’on en aura l’utilité…. en remplissant celui-ci d’eau du bassin et
en connectant le filtre pression dessus.
Ceci permettra d’éviter les montées de nitrites dans le bac nouvellement installé et donc, de le rendre fonctionnel pour placer un poisson malade ou des nouveaux arrivants à placer en observation.
Attention, cependant, de ne pas replacer ce filtre à pression dans le bassin principal s’il a servi dans le bac de quarantaine !
Concrètement… quel bac de quarantaine installer… soyons fonctionnel !!
Le bac de quarantaine devra avoir une certaine dimension… un cubis de 1000 l fera l’affaire…si c’est plus, c’est mieux, n’oublions pas que nos protégés peuvent atteindre une taille imposante, donc il vaut mieux prévoir en conséquence…1500 litres par exemple !
Il devra être équipé d’une filtration et être en fonction toute l’année. Le système idéal et pas cher est d’installer un filtre à douche facile à réaliser avec des bacs en plastique que l’on trouve facilement en «grande surface… » ce qui permet aussi d’augmenter la taille de la filtration à tout moment et à moindre frais…un morceau de tapis japonais, du biocerapond et une petite pompe pour aquarium… le tour est joué !
Si vous n’êtes pas trop bricoleur, il existe des bacs de quarantaine portatifs à un prix raisonnable dans les tailles de : diam 120 x H 60,soit 680 litres ou…mieux : diam 180 x H 60 de 1500 litres. Ces bacs, très pratiques, possèdent un filet à tirette pour empêcher les poissons de sauter…un plus ! Avantage supplémentaire, ils peuvent être déplacés au besoin !
Voici les deux modèles décrits…
un fixe avec bacs en plastique…
Le tuyau bleu, c’est pour les
changements d’eau…
Et le portable avec filtration maison dans une poubelle…
Le portable a servi, dans le cas présent, pour un traitement bactérien ! Dans un tel cas, il est impératif d’utiliser un matériel totalement indépendant du matériel prévu pour le bassin collectif…donc : seau, épuisette, bac prévu pour les injections, etc. C’est un conseil absolu :
le matériel utilisé pour un bac de quarantaine ne peut JAMAIS être en contact avec d’autres bacs et le bassin ! Et si vous possédez plusieurs bassins : toujours préférable d’avoir son matériel indépendant pour chaque bassin !
En conclusions…
Concevoir un bassin à koï sans prévoir un bac de quarantaine n’est pas réaliste ! Et penser à son installation avant la conception est toujours plus simple… qu’après !!
Un poisson malade doit être isolé… pour pouvoir le traiter ET empêcher qu’il ne contamine les autres…ce qui serait plus compliqué pour les traitements !
L’aspect financier aussi est à prendre en compte : certains traitements, en plus de dérégler l’écosystème de votre bassin, peuvent coûter cher… même très cher en médicaments… en rapport avec le volume du bassin !
Avoir la possibilité de mettre de nouveaux arrivants en observation durant quelques temps est un plus. N’oubliez jamais qu’un poisson introduit dans votre bassin…même de provenance sûre…est toujours … un challenge : déjà le stress du changement peut déclencher une parasitose… sans compter que des poissons peuvent avoir développé des anticorps contre une pathologie et être porteurs sains… et contaminer d’autres poissons d’une autre provenance qui ne possèdent pas ces anticorps ou protections…à noter que ça marche dans les deux sens !
Donc, ne jamais fonctionner à la confiance aveugle et…personne n’est responsable si ce scénario s’écrit : il ne faut pas toujours remettre la faute sur les autres…des poissons sains chez votre fournisseur… peuvent subir des attaques chez vous sans que celui-ci n’en soit responsable ! Donc… vigilance et prudence sont de mise!!
Voir la vidéo à ce sujet en cliquant
sur l'image
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B – L’acclimatation d’un poisson…dans les règles SVP !
Lors d’un nouvel achat, l’étape de l’acclimatation est…cruciale…sinon le plaisir d’accueillir un nouveau compagnon peut vite tourner au cauchemar !
Nous allons vous expliquer pourquoi et surtout…comment effectuer celle-ci pour éviter tout problème !
Rappelons d’abord que si vous voulez voir comment ça se passe… Stéphane a réalisé un tuto de poissons qu’il a acclimaté chez lui « en live »
Vous pouvez le
retrouver ici
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I – Pourquoi une bonne acclimatation de nouveaux venus est-elle importante ?
-Commençons par le principal : il n’est jamais conseillé d’introduire de nouveaux hôtes dans un bassin si la température l’eau n’avoisine pas les 14° C.
La raison est simple. Si votre nouvel arrivant a été acheté chez un pro au printemps, il y a beaucoup de chance (je l’espère pour lui) que celui-ci a séjourné dans un lieu couvert où les températures étaient proches de 15°C afin de s’adapter au mieux après son voyage en provenance du Japon… ceci afin de lui permettre de se refaire une santé (observation, soins si nécessaire, nourrissage en conséquence et préparation pour sa
destination finale).
Il serait, dès lors, mal venu d’introduire un nouvel arrivant dans de l’eau beaucoup plus froide. De même, en fin de saison, ne plus introduire de poissons au moment où les températures vont chuter !
-Lorsque vous achetez un poisson chez un pro qui a pratiqué une acclimatation dans les règles de l’art, ce sera à vous …de devenir pro également ! Si vous ne prenez pas certaines précautions pour l’acclimater correctement… vous perdrez vite le bénéfice des attentions et soins qui lui ont été prodigués auparavant !
-Ne jamais perdre de vue qu’un nouvel arrivant va devoir s’adapter à un nouvel environnement et des paramètres d’eau qui peuvent être très différents de son lieu de départ. Donc, une acclimatation « en douceur » sera plus que souhaitable pour ne pas trop perturber le métabolisme du poisson et lui créer une situation de stress trop grande.
Le stress pouvant favoriser l’apparition de pathologies ou de parasites.
II – Comment pratiquer une acclimatation réussie…
Le transport des poissons s’étant effectué dans des sacs en plastique et sous oxygène, ils arrivent chez vous. Un conseil : mettez les sacs dans des boites en carton (comme dans la vidéo) ou en frigolite pour le transport afin de ne pas trop stresser ceux-ci… c’est mieux pour eux que de voir défiler des paysages inconnus qui se précipitent sur les sacs ! c’est la vision qu’auront les poissons dans des sacs transparents !
L’acclimatation décrite ici peut s’effectuer de la sorte uniquement avec des poissons de provenance sérieuse…où ceux-ci auront été mis en quarantaine chez votre pro et après vérification via un frottis récent qu’ils sont exempt de parasites et un examen visuel ne décelant pas d’anomalies.(rougeurs, excroissances, plaies, etc…)
Deux acclimatations sont à prendre en compte :
* la température : veiller à rééquilibrer celle-ci pour ne pas avoir d’écart entre celle du bassin et celle du sac…et en aucun cas un écart de plus de 3 °C ! Pour ce faire, laisser le sac fermé flotter sur le bassin pendant ½ H minimum (à l’ombre) si en plein été.
* l’autre : ce sera d’adapter progressivement les nouveaux arrivants aux paramètres de l’eau du bassin (PH-KH-GH). Pour ce faire, on place le sac avec le poisson dans un bowl…on l’ouvre…on rajoute de l’eau du bassin de manière progressive afin de ne pas brusquer l’acclimatation… surtout si le PH est différent (à mesurer avant…celui du pro et celui de
votre bassin).Cette opération peut durer ½ H à une heure…en fonction des différences de paramètres.
Nous sommes maintenant prêt à intégrer le nouvel arrivant et pour qu’il ne reçoive pas un accueil trop triomphal, c’est bien de donner un peu de nourriture aux habitants autochtones pour détourner leur attention afin qu’ils ne se précipitent pas sur le nouveau, toujours pour lui éviter du stress… ou lâcher le nouveau à un endroit discret du bassin.
III – Conseils… lors de l’introduction d’un nouveau poisson dans le bassin principal…
Évitez de mettre de l’eau du sac d’où provient le poisson dans votre bassin car cela peut avoir des conséquences ! En effet, les mélanges d’eaux peuvent être à l’origine de développements bactériens ou de parasites favorisés par la présence d’eaux de qualité et composition différentes…Ne tentons pas le diable !!
Nous avons ainsi procédé à une acclimatation « classique »… c’est ce que beaucoup font…dans les meilleurs des cas…on voit encore des personnes qui laissent les sacs pour les mettre à température et puis…un coup de cutter pour éventrer ceux-ci et hop…le poisson ET l’eau se mélange à l’eau du bassin ! A ne pas faire bien sûr !
Si vous devez acclimater des poissons achetés…ou reçus…d’une provenance moins connue ou moins fiable…il est conseillé d’ajouter une étape importante dans l’acclimatation…on n’est jamais trop prudent et cela ne vous prendra qu’une demi-heure en plus et c’est vraiment à recommander : c’est d’effectuer un…bain de sel !
C – Pratiquer un bain de sel flash 15/15… une précaution supplémentaire…
I – Pourquoi pratiquer un bain de sel à un poisson ?
C’est une recommandation…élémentaire pour éviter un tas de soucis ultérieurs…surtout lors de l’arrivée de nouveaux poissons ! Effectuer un bain de sel permettra…
De déstresser le poisson grâce à l’effet du sel qui donne la sensation de planer car la pression osmotique de l’eau montera suite à l’ajout de sel.
Le sel va également stimuler la production du mucus protecteur sur la peau du poisson…qui est un rempart contre de nombreuses attaques parasitaires…ne l’oublions pas !
Un bain de sel non iodé 15/15 aura aussi comme effet de faire éclater bon nombre de parasites monocellulaires ! Il affaiblira des parasites externes s’il y en a…très rare quand-même si les poissons sont de provenances sérieuses (c’est pour cela qu’il est conseillé de s’approvisionner chez des pros et pas des jardineries grandes surfaces dont je ne citerai pas les noms…et qui font rarement des quarantaines avant la mise en vente)…Ce seront des parasites visibles à l’œil nu : pou de la carpe, ver à ancre ou sangsue.
A cette concentration de sel, le bain agira également sur des moisissures et certaines bactéries…mais ne nous leurrons pas ; si grosse attaque, ce n’est pas un bain de sel qui permettra de les éliminer totalement…c’est pourquoi, vous devez bien examiner le poisson que vous voulez acheter AVANT de le ramener chez vous !
Voir la vidéo au sujet du
sel dans un bassin en
cliquant sur l'image
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II – Comment pratiquer un bain de sel 15/15 ?
La technique n’est pas bien compliquée : il vous faudra un bowl de 60 litres environ (dépend de la taille du (des) poisson(s), une pompe à air, du sel de cuisine non iodé ou Guérande et un grand essuie.
Après l’acclimatation à la température et à l’eau de destination finale : votre bassin…la dernière étape sera d’effectuer le bain de sel. Voici comment procéder…
Préparer une cuve de maçon, bowl… verser, par exemple, 30 litres d’eau du bassin…+ si le poisson est de grande taille ou s’ils sont plusieurs… ce n’est pas le moment de le(s) stresser en le(s) plaçant dans un récipient trop petit !
Pour 30 l d’eau, vous diluez 450 gr de sel non iodé…si 50 l… ce sera 750gr soit 15 g/l.
Vous placez un bulleur tout en mélangeant l’eau jusqu’à dissolution complète du sel. Ensuite vous prenez le poisson délicatement avec une chaussette (épuisette spéciale) et vous le placez dans le bain…Vous couvrez le bowl avec un essuie mais en gardant un oeil pour voir la réaction du poisson. S’il reste bien droit : c’est parfait…s’il se couche (rare !) il faut le retirer du bain…s’il saute une fois ou l’autre, le laisser, c’est normal. Le bain sera efficace si le poisson reste minimum 10 minutes…mais le laisser 15 minutes est préférable ! NB : J’ai pratiqué des bains de sel sur des poissons rouges de petites tailles, tanches, koï évidemment…que j’ai laissés pendant 30 minutes sans aucun problème. Si un poisson se couche, c’est que qu’il est dans un grand état de stress ou qu’il est en perte d’immunité car mal en point.
Après 15 minutes…vous retirez le poisson grâce à la chaussette épuisette et vous placez celui-ci dans un bowl rempli d’eau du bassin pendant 2 minutes…afin de ne pas mettre d’eau salée du bain dans votre bassin…et vous libérez votre nouvel hôte dans votre bassin comme expliqué précédemment.
Voir la vidéo au sujet du bain de sel dans un bassin en cliquant sur l'image
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Explications sur la sortie d'hiver et bain de sel – Alain Vidal- Boutique bassin - Facebook
D – Conclusion…
Nous arrivons au terme de ce dossier. Nous espérons, Stéphane et moi, que vous aurez compris l’enjeu capital des précautions à prendre lorsqu’on accueille un nouveau poisson dans notre bassin. Que pour pouvoir être efficaces, nous devons anticiper les possibles situations d’urgences…et ne pas se fier à sa bonne étoile en croyant que… certaines précautions sont à prendre à la légère !
Maintenant, chacun fera comme il l’entend…Nous espérons seulement que vous prendrez les bonnes décisions…PRÉVENTIVEMENT… pour éviter les problèmes. Ne pas perdre de vue que jouer à la roulette russe…n’est jamais à conseiller
! A bientôt pour de nouvelles aventures !
Michel Dardenne – Stéphane Cappe Janvier 2024
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